Connu sous le pseudonyme Kada Ould si Moulay.
1.L’Algérie mon Pays
Mes yeux admirent Alger la blanche
Mon coeur désire « El Bahia »
Mes yeux admirent les splendeurs de l’Algérie.
Mon coeur désire désire le Sahara et ses richesses
Je suis solitaire .J’aime rêver au bord de la rivière ,loin des gens qui n’ont ni coeur ,ni de la pitié.
Les enfants pleurent ,les femmes hurlent;les hommes se battent pour la liberté et la jeunesse d’aujourd’hui regardent au ciel le drapeau qui flotte.
Mes yeux admirent toute chose sur la terre
mon coeur désire la paix et le silence
mes yeux admirent les héros de la révolution
mon coeur désire mourir au printemps où le soleil brillera.
sur ma tombe »Dieu est grand »
2.Tizi ouzou ,la reine des montagnes
tizi-ouzou belle ville avec ses montagnes merveilleuses les gens sont très sympathiques , et les filles ont le sourire aux lèvres
tizi-ouzou dans le passe à pleure pour son avenir belle ville avec sa richesse et l’ eau douce des robinets et des montagnes qui coule du matin au soir pour les enfants assoiffés , allons nous taire, aujourd’hui pour pleurer demain si mes lèvres se taisent aveugle je resterai et ma droite et témoin et la jeunesse qui crie JSK , JSK honneur pour toute l’algerie entiére , equipe volontaire de la balle ronde , tu es toujours: le soleil qui brille sur cette terre d’algerie
25 août 2011 à 2:49
J’ai lu votre intervention parlant de l’origine de la famille Reguieg.
Tout d’abord je voudrais vous dire que j’ai été ému de retrouvé notre nom et surtout le prénom de mon pére
(rahmatou Allah ‘ali) décédé il y a 4 ans à 101 ans.
Il était de Mascara.
Moi je vis actuellement entre les Antilles, Paris et la côte d’azur.
Quand vous dites que nous sommes une grande famille, je suis tout à fait d’accord avec vous,
j ai une fille qui est à Vancouver et nous avons porté le nom des Reguieg jusque dans le Pacifique quand j’étais en activité.
Par contre le lien le plus ancien auquel je relie le nom de notre famille est Iabrahim ibn Ishaq el Raqiq, un ancien percepteur des impôts du gouvernorat de Qayrawan vers les années 990 miladia.
Il est cité par Ibn Khaldoun, car il était en même temps poete et écrivain.
Un de ses ouvrages est gardé à la bibliothéque nationale de Paris, sans doute pris pendant la période coloniale dans les bibliotheques privées en Tunisie.
Je possède une « sadjara » qui remonte au 15 eme siècle miladi le plus ancien des ancêtres figurant sur cette sadjara étant à Tlemcen.
Si vous pouvez me donner vos sources et vos hypothèes j en serais heureux.
Wa assalam ‘aleik wa ‘ala ahlek wa kafat el ‘a-ila
26 mars 2012 à 11:54
bonjour les reguieg , j’aime bien avoir notre arbre généalogique.